La NASA recherche les vols supersoniques


Une journée à Moscou? Paris pour le déjeuner? La quête de la NASA pour la technologie des avions supersoniques à faible flèche pourrait un jour révolutionner le transport aérien commercial. Désormais, le centre de recherche Langley de la NASA à Hampton teste un modèle réduit supersonique dans une soufflerie 14 x 22 pour rapprocher cette vision de la réalité. Il s’appelle la conception de l’avion QueSST, pour Quiet Supersonic Technology. Et l’idée est de convaincre le Congrès que des vols commerciaux ultrarapides peuvent être effectués sur des routes terrestres, voire sur des communautés, sans générer ce fameux boom sonore qui peut effrayer le bétail, briser les fenêtres et irriter quiconque à portée de voix. Les vols supersoniques au-dessus des États-Unis ont été interdits en 1973 à cause de ces booms. «Nous essayons de lever cette réglementation et nous avons besoin de données», a déclaré David Richwine, responsable de la planification du QueSST à Langley. « Pour obtenir les données, vous avez besoin d’un avion capable de le faire. » La NASA a élaboré un avant-projet pour son X-plane QueSST avec son partenaire Lockheed Martin. divers modèles ont été soumis à des essais en soufflerie. Le Centre de recherche Glenn à Cleveland a soumis une petite version de 4 pieds à des vents forts de 1,5 et 1,6, soit environ 1 100 mph et 1 200 mph, afin d’étudier les performances aérodynamiques et la sécurité des vols. Maintenant, Langley teste un modèle plus grand – 15% de la taille d’un avion réel – à des vitesses inférieures pour étudier ses performances sous différentes configurations de volets et, en particulier, comment il se comporte à des vitesses inférieures lors du décollage et de l’atterrissage. Le tunnel 14 sur 22 atteint un maximum de 235 mi / h. « Étant un avion très rapide, il n’aime pas voler lentement », a déclaré Richwine. « Donc, comprendre comment voler lentement est très important. » Tout d’abord, il faut voler vite et silencieusement. Retrouvez toutes les infos sur ce de vol en MiG29 en suivant le lien.



Tout verrouiller à mort


Un Gilet jaune a posté une vidéo suite à un communiqué rendu public par le B’nai B’rith (les fils de l’Alliance), décrite comme la plus ancienne organisation sioniste au monde, dans lequel cette influente secte qui chapeaute les francs-maçons de par le monde, a dénoncé le vaste mouvement de protestation qui secoue la France depuis près d’un mois et qui va crescendo de semaine en semaine. «Ce n’est pas rien que le B’nai B’rith fasse un communiqué», explique le citoyen français car, explique-t-il, cette instance qui est le «dernier étage de la franc-maçonnerie» ne communique que dans des situations exceptionnelles. Ce qui signifie que le mouvement de contestation qui menace le règne d’Emmanuel Macron fait peur à cette institution qui agit dans l’ombre. «La dernière fois que le B’nai B’rith s’est réuni, c’était pour inciter Manuel Valls à réunir un Conseil d’Etat contre Dieudonné», relève l’intervenant. Le Gilet jaune français, qui a enregistré la vidéo masqué, de peur de subir des représailles, rappelle que cette loge maçonnique compte dans ses rangs Bernard-Henri Lévy, Mathieu Kassovitz et Daniel Cohn-Bendit, trois personnages surmédiatisés opposés au mouvement de protestation populaire. «Si le B’nai B’rith a réagi, cela veut dire que des décisions politiques seront prises», prédit le Gilet jaune qui affirme vouloir avertir les Français qu’il est «hors de question qu’ils (les Gilets jaunes) abandonnent le combat». «Ce n’est pas juste parce que nous voulons de l’essence moins chère, mais parce qu’on nous a volé notre vie, notre liberté et notre souveraineté depuis vingt ou trente ans», explique-t-il. «Si nous arrêtons la contestation maintenant, dans deux ou trois générations, nous serons alors les esclaves d’un nouvel ordre mondial», avertit le Gilet jaune, en s’adressant aux Français. «Mais il est clair aussi qu’en face, ils n’abandonneront pas», met-il en garde, estimant qu’«ils» (le lobby sioniste, ndlr) ne nous laisserons pas gagner ne serait-ce qu’une seule bataille». «Ils vont verrouiller à mort», alerte l’opposant au régime des Rothschild représenté au sommet de l’Etat français par Emmanuel Macron. «Il faudra qu’on passe à un degré d’engagement supérieur», confie-t-il, car le pouvoir en place «continuera de nous réprimer, de nous censurer et de nous voler notre argent». «Ce n’est pas de la violence, mais un autre degré d’organisation de la défense», juge ce Gilet jaune qui appartient à ce mouvement «engagé, d’après lui, dans un combat qui va durer très longtemps» et qui n’exclut pas que le lobby sioniste réagisse de façon sournoise en «fermant les banques» ou en «cessant d’alimenter les commerces» pour tuer la «révolution» dans l’œuf.