Aménagement intérieur : astuces pour réduire les coûts en le faisant soi-même


Aménager et décorer son intérieur par ses propres moyens est une option abordable pour réduire les coûts d’un projet de rénovation ou d’agencement. L’un des principaux avantages est l’élimination des frais de main-d’œuvre. Recourir à un professionnel, comme un artisan ou un décorateur, représente une dépense importante. En s’occupant des travaux soi-même, ces coûts peuvent être réduits de 20 à 30 %.

L’achat direct des matériaux nécessaires permet de mieux contrôler les dépenses. Comparer les prix dans différents magasins ou sur des plateformes en ligne aide à identifier les meilleures offres. Les ventes privées, les promotions en magasin ou les échanges entre particuliers offrent également des alternatives pour trouver des produits moins chers. En prenant en charge cet aspect, choisir le tissu d’ameublement pour sa décoration on évite les marges supplémentaires facturées par les prestataires.

Pour les outils, louer ou emprunter reste une solution économique. Un équipement coûteux utilisé une seule fois peut être trouvé à moindre coût sur des plateformes de prêt ou de location. Louer plutôt qu’acheter s’avère souvent plus judicieux pour des besoins ponctuels.

Recycler des meubles ou détourner des objets existants est une autre manière d’économiser. Par exemple, repeindre une commode ou transformer un cadre inutilisé en élément décoratif réduit les achats d’articles neufs tout en apportant une touche personnelle à son intérieur.

Réaliser soi-même la peinture des murs ou des meubles est une tâche accessible et économique. Le coût d’un peintre professionnel varie entre 20 et 40 euros par mètre carré, alors qu’un pot de peinture à 30 euros permet de couvrir 10 mètres carrés. Avec un peu de temps et d’effort, on peut obtenir un résultat de qualité sans frais supplémentaires.

Fabriquer des éléments décoratifs, comme des rideaux, des coussins ou des ornements muraux, est une solution créative et économique. En utilisant des matériaux simples, on peut adapter ces accessoires aux dimensions et au style souhaités, tout en limitant les dépenses.

Les petits travaux, comme poser un revêtement de sol ou installer des étagères, sont réalisables avec un minimum de préparation. Réaliser ces tâches soi-même permet de réduire les coûts, notamment pour des services comme la pose de parquet flottant, facturés entre 15 et 20 euros par mètre carré par un professionnel.

Les comparateurs de prix en ligne et une planification soignée des achats permettent aussi de réduire les coûts. Profiter des périodes de soldes ou des promotions permet d’acquérir des matériaux à des prix avantageux sans compromettre leur qualité.

Prendre en charge l’ensemble des étapes du projet permet également d’éviter les frais imprévus. Les erreurs ou les modifications réalisées par un tiers peuvent entraîner des dépenses supplémentaires. En étant directement impliqué, on conserve une maîtrise totale sur le budget et les délais.

Avec de l’organisation et un peu de patience, réaliser sa décoration intérieure soi-même reste une solution abordable et efficace. Réutiliser des objets, louer des outils ou acheter intelligemment sont autant de moyens de réduire les dépenses tout en obtenant une décoration à son goût.



Le programme GCAP face au défi de l’élargissement avec l’Arabie saoudite


Le Royaume-Uni a annoncé qu’il était ouvert à une collaboration avec l’Arabie saoudite dans le cadre du programme GCAP. Ce projet ambitieux, réalisé avec l’Italie et le Japon, vise à créer un avion de combat de sixième génération. John Healey, ministre de la Défense britannique, a précisé que des discussions détaillées étaient en cours, bien que des avancées supplémentaires soient nécessaires pour finaliser un éventuel partenariat.

Le Global Combat Air Programme représente bien plus qu’un projet technologique. Il incarne une volonté de collaboration entre pays partageant des intérêts stratégiques communs. Pour Londres, inclure Riyad dans ce programme pourrait ouvrir des opportunités économiques importantes et renforcer les relations bilatérales. Toutefois, cette proposition soulève également des questions parmi les membres actuels de l’alliance.

Sir Keir Starmer, chef de l’opposition britannique, les dangers du vol à basse altitude prévoit de visiter Riyad dans le cadre d’une tournée au Moyen-Orient. Cette visite vise à encourager les investissements saoudiens dans l’économie britannique, et le programme GCAP devrait figurer parmi les sujets principaux abordés lors des discussions. L’intégration de Riyad dans ce partenariat pourrait être perçue comme un moyen de solidifier les liens industriels entre les deux pays.

Cependant, cette éventualité n’est pas sans défis. Le Japon, en particulier, a exprimé des réserves concernant l’ajout de l’Arabie saoudite. Ces préoccupations reflètent des divergences sur la gestion des priorités stratégiques et des responsabilités dans le cadre du projet. Chaque partenaire actuel du GCAP a des attentes spécifiques, rendant la coopération avec un nouveau membre plus complexe.

La collaboration internationale dans ce type de projet nécessite des engagements financiers et techniques considérables. Les partenaires actuels ont mis en place une structure pour gérer le développement de cet avion de combat avancé. L’intégration de Riyad nécessiterait des ajustements importants, notamment dans la répartition des coûts, le partage des technologies sensibles et la gouvernance du projet.

Pour le Royaume-Uni, cette ouverture témoigne de sa volonté de rester actif dans le secteur mondial de la défense. En invitant Riyad à participer, Londres cherche à diversifier ses sources de financement et à renforcer sa position dans l’industrie. Cette approche s’inscrit également dans une stratégie plus large visant à maintenir son influence internationale.

L’Arabie saoudite, de son côté, voit dans ce partenariat une opportunité de moderniser son secteur militaire et de renforcer son industrie de défense. Le royaume a considérablement investi dans ce domaine, avec l’objectif de devenir un acteur clé dans la production de technologies militaires. Rejoindre le GCAP lui offrirait l’accès à des innovations cruciales tout en consolidant ses relations avec des partenaires stratégiques.

Malgré ces avantages potentiels, les discussions en cours restent complexes. Les tensions au sein de l’alliance montrent qu’un accord nécessitera des compromis. Le partage des responsabilités, les implications géopolitiques et les attentes nationales devront être soigneusement équilibrés pour que le projet progresse. Les négociations détermineront si cette ouverture peut aboutir à une coopération élargie ou si les divergences freineront ce partenariat.



La Philosophie de Martin Heidegger


Martin Heidegger, l’un des philosophes les plus influents du XXe siècle, est surtout connu pour son exploration de la question de l’être. Son ouvrage majeur, « Être et Temps » (1927), est une tentative ambitieuse de redéfinir la métaphysique occidentale en se concentrant sur la question fondamentale de l’ontologie : qu’est-ce que l’être ? La philosophie de Heidegger est complexe et souvent controversée, mais elle a profondément marqué la pensée contemporaine, notamment dans les domaines de la phénoménologie, de l’existentialisme, de la déconstruction et de l’herméneutique.

Au cœur de « Être et Temps », Heidegger introduit le concept de Dasein, terme allemand qui signifie littéralement « être-là ». Pour Heidegger, le Dasein est l’entité particulière qui a la capacité de poser des questions sur son propre être. Le Dasein n’est pas simplement un être humain au sens biologique, mais une existence qui se comprend elle-même dans son être, et qui est toujours déjà engagée dans le monde. Heidegger rejette la vision cartésienne du sujet isolé et propose une conception selon laquelle l’être est toujours déjà « jeté » dans le monde et en relation avec celui-ci.

Heidegger utilise le concept de « présence » pour décrire comment les êtres humains existent dans le monde. Contrairement à la conception traditionnelle du temps comme une série de moments discrets, Heidegger voit le temps comme une dimension intrinsèque de l’être humain. Le Dasein est temporel dans son essence, ce qui signifie que sa compréhension de lui-même et du monde est toujours liée à son passé (ce qu’il a été) et à son futur (ce qu’il projette de devenir). Cette temporalité est essentielle pour comprendre l’existence humaine comme un processus dynamique plutôt que statique.

L’un des concepts les plus célèbres et les plus controversés de Heidegger est celui de la « chute » (Verfallenheit). Heidegger soutient que le Dasein est souvent absorbé dans le quotidien, vivant de manière inauthentique en se conformant aux attentes et aux normes sociales sans questionner son propre être. Cette « chute » dans l’inauthenticité est un mode d’existence où le Dasein évite de confronter les questions fondamentales de son existence. Cependant, Heidegger ne voit pas cette condition comme une déchéance morale, mais plutôt comme une caractéristique inhérente de l’existence humaine, une tendance à se perdre dans le « On » (das Man), le domaine impersonnel des conventions sociales.

Pour Heidegger, la possibilité de vivre authentiquement se présente lorsque le Dasein reconnaît sa propre finitude et mortalité, une prise de conscience qu’il appelle « être-vers-la-mort » (Sein-zum-Tode). Cette conscience de la mort n’est pas simplement une reconnaissance intellectuelle, mais une expérience existentielle qui révèle la nature temporaire et contingente de l’existence humaine. En faisant face à la mort, le Dasein est capable de se libérer des distractions quotidiennes et de vivre de manière plus authentique, en prenant des décisions qui reflètent ses véritables valeurs et aspirations.

Une autre contribution majeure de Heidegger est sa critique de la métaphysique occidentale, qu’il voit comme ayant oublié la question de l’être en se concentrant uniquement sur les entités. Dans ses écrits ultérieurs, notamment dans « Qu’appelle-t-on penser ? » et « La Question de la technique », Heidegger examine comment la pensée occidentale, depuis Platon et Aristote, a réduit l’être à une simple présence, à quelque chose qui peut être mesuré, manipulé et contrôlé. Cette réduction a conduit à ce qu’il appelle l’ère de la technique, où la science et la technologie dominent la compréhension de la réalité, en négligeant les aspects plus fondamentaux et poétiques de l’existence.

Heidegger appelle à un retour à une pensée plus originaire, qu’il nomme « méditative » par opposition à la pensée « calculatrice » de la modernité technologique. Cette pensée méditative cherche à se reconnecter avec l’être en laissant les choses être ce qu’elles sont, plutôt que de les réduire à des objets de manipulation. Heidegger trouve des modèles pour cette manière de penser dans la poésie, l’art et la philosophie présocratique.

L’influence de Heidegger s’étend bien au-delà de la philosophie académique. Son impact se fait sentir dans la littérature, l’art, la théologie, la psychologie et même dans la théorie politique. Cependant, son engagement avec le nazisme dans les années 1930 a suscité des débats intenses et controversés sur l’éthique de sa pensée et sa crédibilité philosophique. Bien que Heidegger ait plus tard pris ses distances avec le régime nazi, cette période de sa vie continue de susciter des interrogations sur les implications politiques de sa philosophie.

En conclusion, la philosophie de Martin Heidegger représente une tentative profonde et radicale de reconsidérer la question de l’être. En introduisant des concepts tels que le Dasein, la temporalité, et l’authenticité, Heidegger a offert de nouvelles façons de comprendre l’existence humaine et sa relation avec le monde. Sa critique de la métaphysique et de la modernité technologique continue d’influencer les débats contemporains sur la nature de la réalité, de la connaissance et de la vie humaine. Bien que controversée, la pensée de Heidegger demeure une source inépuisable de réflexion et d’inspiration pour ceux qui cherchent à comprendre les fondements de l’existence.



Goûter le monde


Voyager, c’est plus que se déplacer d’un endroit à l’autre ; c’est une aventure qui offre des possibilités illimitées de découvrir de nouvelles civilisations, de nouvelles cuisines et de nouveaux paysages. Pour beaucoup, le cœur et l’âme du voyage ne résident pas seulement dans les lieux, mais aussi dans la qualité des expériences vécues, qu’il s’agisse de séjours dans des complexes hôteliers de haut niveau, de dégustations de plats exceptionnels ou d’activités inoubliables. Cet essai explore les avantages de rechercher les meilleurs hôtels, les meilleures rencontres et les meilleurs repas lors d’un voyage, et la manière dont cette recherche améliore le voyage dans son ensemble.

Opter pour les meilleurs établissements n’est pas seulement un choix de luxe ; c’est aussi faire l’expérience d’un service exceptionnel, d’un confort et d’une sécurité qui améliorent la qualité de l’expérience de voyage. Les hôtels de premier ordre disposent souvent d’espaces stratégiques qui offrent des facilités et des vues magnifiques. Par exemple, séjourner dans un hôtel bien placé à proximité des principales destinations permet de gagner un temps précieux et de faciliter l’accès, ce qui rend les visites touristiques et les excursions plus agréables et moins épuisantes.

En outre, les hôtels de luxe offrent un niveau de service qui améliore considérablement l’expérience du voyage. Des services professionnels de conciergerie qui aident à personnaliser votre visite en fonction de vos goûts, aux spas et centres de bien-être qui offrent du plaisir après une période d’activités, les plus beaux hôtels du monde les avantages sont tangibles. Ces hôtels présentent souvent des styles architecturaux et intérieurs uniques, donnant une impression de lieu qui reflète la culture et l’histoire locales, enrichissant ainsi la connaissance et l’admiration du voyageur pour l’endroit.

Voyager, c’est vivre des expériences uniques qui laissent des souvenirs impérissables. La recherche des expériences les plus efficaces implique souvent de participer à des activités emblématiques du lieu. Qu’il s’agisse d’une visite guidée privée d’un site antique, d’un vol en montgolfière au-dessus de panoramas pittoresques ou d’une croisière le long de la côte, les expériences de qualité supérieure permettent aux voyageurs de plonger plus profondément dans l’essence du lieu.

En choisissant des routines de premier ordre, les voyageurs ont la garantie d’obtenir l’assistance d’un expert et un accès particulier qui ne sont pas forcément disponibles dans le cadre d’alternatives plus génériques. Par exemple, un cours de cuisine personnel avec un chef renommé permet de découvrir la nourriture et les techniques culinaires locales, ce qui n’est pas possible dans le cadre d’un repas dans un café. Ces expériences ne sont pas seulement agréables, elles sont aussi éducatives et souvent personnalisées, ce qui permet de se sentir proche de l’aventure.

La recherche culinaire fait partie intégrante du voyage et permet d’obtenir une saveur authentique de la culture locale. La recherche des meilleurs plats ne se limite pas à des restaurants étoilés au guide Michelin ; elle implique de découvrir la diversité de l’offre culinaire locale, des restaurants haut de gamme aux perles secrètes reconnues uniquement par les locaux.

S’offrir les meilleurs repas n’implique pas nécessairement les repas les plus chers, mais plutôt la meilleure qualité et la plus grande authenticité. Il peut s’agir de savourer un plat de cuisine de rue parfaitement bien préparé, qui regorge de saveurs traditionnelles, ou de se faire préparer un repas par un cuisinier qui choisit les ingrédients à proximité, ce qui garantit la qualité et le soutien à la communauté locale.

En outre, les repas sont souvent une porte d’entrée vers l’âme d’une culture. En choisissant des établissements vénérés par la population locale, les voyageurs ont l’occasion d’interagir avec la communauté, de comprendre les histoires qui sous-tendent les repas et d’acquérir une connaissance plus approfondie des traditions culinaires de la région. Cette approche permet non seulement de satisfaire le palais, mais aussi d’enrichir le voyage, en le rendant plus significatif et plus mémorable.

Des vacances qui mettent l’accent sur la qualité supérieure des centres de villégiature, des expériences et de la nourriture ne sont pas seulement pratiques et agréables, mais elles renforcent aussi le lien avec les destinations visitées. En choisissant ce qu’il y a de mieux, les vacanciers s’ouvrent à des rencontres non seulement luxueuses, mais aussi incroyablement enrichissantes et inoubliables.



Ingérence dans la politique américaine


L’Initiative pour l’intégrité a mobilisé une campagne internationale de désinformation à travers l’Europe. Maintenant, avec l’argent du gouvernement et de la fondation de droite, cette énorme unité de diffamation politique »infiltre les États-Unis.
Un scandale d’espionnage domestique a éclaté en Grande-Bretagne, après que des communications internes piratées ont révélé une opération secrète de guerre psychologique du renseignement militaire de l’État britannique visant ses propres citoyens et personnalités politiques dans les pays alliés de l’OTAN sous le couvert de la lutte contre la désinformation russe. »
Les documents divulgués ont révélé un réseau secret d’espions, d’éminents journalistes et groupes de réflexion collusion sous l’égide d’un groupe appelé Integrity Initiative « pour façonner l’opinion nationale – et pour salir les opposants politiques du gouvernement conservateur de droite, y compris le chef du Parti travailliste de l’opposition, Jeremy Corbyn.
Jusqu’à présent, ce scandale d’espionnage domestique de l’Initiative d’intégrité a été ignoré dans les médias américains, peut-être parce qu’il concernait principalement des noms britanniques. Mais il est clair que l’opération d’influence a déjà été activée aux États-Unis. Des documents piratés révèlent que l’Initiative d’intégrité cultive de puissants alliés au sein du Département d’État, des meilleurs groupes de réflexion de DC, du FBI et du DHS, où elle a eu accès à Katharine Gorka et à son mari, le spécialiste des nouvelles par câble fasciste Sebastian Gorka
L’Initiative d’intégrité a défini des plans pour étendre son réseau à travers les États-Unis, se mêler de la politique américaine et recruter une nouvelle génération d’observateurs russes »derrière le faux prétexte d’un organisme de bienfaisance non partisan. De plus, le groupe a engagé l’un des spécialistes américains de la gestion de la perception les plus connus, John Rendon, pour former ses grappes d’experts et entretenir des relations avec les médias.
De retour au Royaume-Uni, le député Chris Williamson a réclamé une enquête sur l’abus de fonds publics par l’Initiative d’intégrité.
Dans un éditorial récent, Williamson a établi un parallèle direct entre la collaboration du groupe avec les journalistes et les paiements clandestins effectués par la CIA aux journalistes pendant la guerre froide.
Ces tactiques ressemblent à celles déployées par la CIA dans le cadre de l’opération Mockingbird lancée au plus fort de la guerre froide au début des années 1950. Ses objectifs comprenaient l’utilisation des médias d’information traditionnels comme outil de propagande », a écrit Williamson.
Ils ont manipulé l’agenda des nouvelles en recrutant des journalistes de renom pour écrire des articles dans le but exprès d’influencer l’opinion publique d’une manière particulière », a poursuivi le parlementaire travailliste. Il semble maintenant que l’establishment britannique ait dépoussiéré l’ancien manuel de jeu de la CIA et ait l’intention de lui donner une autre sortie de ce côté-ci de l’Atlantique. »
Démasquer une machine à frottis de renseignement militaire britannique
L’existence de l’Initiative d’intégrité était pratiquement inconnue jusqu’en novembre, lorsque les serveurs de messagerie d’un think tank britannique auparavant obscur appelé l’Institut pour Statecraft ont été piratés, ce qui a provoqué des allégations d’intrusion russe. Lorsque les documents internes du groupe sont apparus sur un site Web hébergé par Anonymous Europe, le public a appris l’existence d’un réseau de propagande caché financé à hauteur de plus de 2 millions de dollars par le Foreign Office britannique contrôlé par les conservateurs, et géré en grande partie par des officiers du renseignement militaire. .
Par le biais d’une série d’incitations en espèces, de séances d’information officieuses et de conférences d’une journée, l’Initiative pour l’intégrité a cherché à organiser les journalistes à travers l’Occident dans une chambre d’écho internationale exacerbant la menace supposée de la désinformation russe – et à diffamer les politiciens et les journalistes critiques de cette nouvelle campagne de la guerre froide.
Une offre de financement soumise par l’Initiative pour l’intégrité en 2017 au ministère britannique de la Défense a promis de prendre une position plus stricte sur la Russie « en faisant en sorte que davantage d’informations soient publiées dans les médias sur la menace de mesures actives russes ».
L’Initiative pour l’intégrité a également travaillé sur ses fronts dans les médias pour dénigrer des personnalités politiques perçues comme une menace pour son programme militariste. Ses cibles ont inclus un représentant du Département espagnol de la sécurité intérieure, Pedro Banos, dont la nomination a été sabordée grâce à un blitz médiatique qu’il a secrètement orchestré; Jeremy Corbyn, que la tenue et ses médias ont dépeint comme un idiot utile de la Russie; et un député écossais, Neil Findlay, que l’un de ses plus proches alliés des médias a accusé d’avoir adopté les messages du Kremlin »pour avoir osé protester contre la visite officielle du politicien ukrainien d’extrême droite Andriy Parubiy – le fondateur de deux partis néonazis et auteur d’un mémoire nationaliste blanc, Vue de la droite.  »
Ces campagnes de diffamation et bien d’autres orchestrées subrepticement par l’Initiative d’intégrité offrent un aperçu inquiétant de la politique réactionnaire qu’elle prévoit d’injecter dans un environnement politique américain déjà toxique.
Leçons de l’homme qui a vendu la guerre »
Un document de l’Initiative d’intégrité récemment publié révèle que la tenue prévoit une expansion agressive à travers les États-Unis.
L’Initiative pour l’intégrité prétend avoir déjà établi un simple bureau »à Washington DC, mais elle ne précise pas où. Il se vante également de partenariats avec les meilleurs groupes de réflexion de DC tels que le Conseil de l’Atlantique, le Centre for European Policy Analysis, CNA, et des relations étroites avec des responsables américains.
Un centre majeur de l’influence de l’Initiative d’intégrité est le Global Engagement Center du Département d’État, une opération de propagande de facto du gouvernement américain qui a été créée par le président Barack Obama pour lutter contre le recrutement en ligne de l’Etat islamique, mais qui a été rapidement réaffectée pour contrer la désinformation russe après l’élection de Trump.
Il est John Rendon, plus connu sous le nom de L’homme qui a vendu la guerre »- plusieurs guerres, en fait, mais surtout l’invasion de l’Irak. Rendon était le soi-disant guerrier de l’information »qui a publié de fausses nouvelles dans les principaux médias américano-britanniques sur les menaces d’ADM inexistantes. Avec des liens étroits avec la CIA et d’autres agences de renseignement militaire, sa firme de relations publiques a reçu 100 millions de dollars pour organiser et vendre le Congrès national irakien d’Ahmed Chalabi. En 2002, le New York Times a dévoilé un programme du Pentagone utilisant Rendon pour semer la désinformation « – y compris les fausses histoires » et le plus noir des RP noirs « – dans les médias du monde entier, afin de façonner l’opinion publique et de vendre l’invasion de l’Irak.
John Rendon (à gauche) avec le major-général Michael Snodgrass, chef d’état-major du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (photo de US Africom Public Affairs)
Le journaliste James Bamford a décrit un catalogue des exploits de désinformation effectués par le Rendon pour le Pentagone, tels que l’identification des préjugés de journalistes spécifiques et potentiellement obtenir une compréhension de leurs allégeances, y compris la possibilité de relations spécifiques et de parrainages.  » Bamford a également trouvé des propositions et des programmes auxquels Rendon était impliqué dans le but de «contraindre» les journalistes étrangers et de diffuser de fausses informations à l’étranger… et de trouver des moyens de «punir» ceux qui véhiculent le «mauvais message». »
Ces tactiques semblent particulièrement pertinentes pour son travail avec l’Initiative pour l’intégrité, en particulier compte tenu des documents internes qui révèlent d’autres plans de style Rendon pour produire des rapports et des études à publier de manière anonyme dans les médias locaux. » (Parmi les points de vente répertoriés comme hôtes sympathiques dans les mémos internes de l’Initiative pour l’intégrité, on trouve Buzzfeed et El Pais, le quotidien espagnol de centre-gauche.)
Suivre les Gorkas
Les documents internes font également référence à des interactions entre le directeur de l’Initiative pour l’intégrité Chris Donnelly et de hauts responsables de Trump comme Katharine Gorka, un responsable du Département de la sécurité intérieure anti-musulman avec véhémence, ainsi que son mari, Sebastian, qui a acquis une renommée de droite pendant son bref mandat Maison Blanche de Trump.
Ce dernier Gorka est un partisan ouvert du Hongrois Vitezi Rend, un ordre proto-fasciste qui a collaboré avec l’Allemagne nazie pendant son occupation de la Hongrie. Après la victoire électorale de Trump en 2016, Gorka a comparu pour des interviews télévisées dans un uniforme noir Vitezi Rend.
Sebastian Gorka, en costume de Vitezi Rend, avec sa femme, Katharine, le soir des élections
Gorka a été parmi les premières figures répertoriées sur un itinéraire pour Donnelly à Washington du 18 au 22 septembre. L’itinéraire indique que les deux ont déjeuné avant que Donnelly ne fasse une présentation sur la cartographie des activités d’influence russe »au centre de recherche militaire financé par le gouvernement fédéral, l’AIIC.
Selon l’itinéraire, Donnelly a eu accès à des responsables du Pentagone comme Mara Karlin, un cadre néoconservateur prometteur, et le directeur exécutif de l’Institut John McCain Kurt Volker, un autre agent néoconservateur qui sert également de représentant spécial américain pour l’Ukraine. De nombreuses réunions avec des membres du personnel du Bureau de l’engagement mondial du Département d’État ont également été détaillées.
Un agent étranger au département d’État?
De tous les fonctionnaires du Département d’État cités dans les documents de l’Initiative d’intégrité, celui qui est apparu le plus souvent était Todd Leventhal. Leventhal a été membre du personnel du Global Engagement Center du Département d’État, se vantant de 20 ans de lutte contre la désinformation, la désinformation, les théories du complot et les légendes urbaines. » Dans un mémo de l’Initiative d’intégrité d’avril 2018, il est répertorié comme membre actuel de l’équipe:
Financé à hauteur de 160 millions de dollars cette année pour combattre la désinformation russe par la contre-propagande », le Global Engagement Center du département d’État a refusé de nier cibler les citoyens américains avec sa propre guerre de l’information. Mon ancien emploi au Département d’État était celui de propagandiste en chef », a avoué l’ancien directeur du Global Engagement Center, Richard Stengel. Je ne suis pas contre la propagande. Chaque pays le fait et ils doivent le faire à leur propre population et je ne pense pas nécessairement que ce soit si horrible. »
Comme tant de médias et de personnalités politiques impliquées dans le réseau international de l’Initiative pour l’intégrité, Leventhal du Global Engagement Center a un penchant pour déployer des tactiques de diffamation contre des voix éminentes qui défient le consensus de politique étrangère. Leventhal est apparu dans un extrait d’un récent documentaire NBC sur la désinformation russe expliquant avec suffisance comment il allait abattre un livre de 15 ans critiquant l’impérialisme américain dans le monde en développement. Plutôt que de contester la substance et les allégations du livre, Leventhal s’est vanté de la manière dont il mobiliserait ses ressources pour mener une campagne de diffamation ad hominem afin de détruire la réputation de l’auteur. Sa vision stratégique était claire: face à un critique, ignorer le message et détruire le messager.
Les documents de l’Initiative d’intégrité révèlent que Leventhal a reçu 76 608 dollars (60 000 livres sterling) pour un contrat de 50%.
Alors que ces mêmes documents affirment qu’il a pris sa retraite du Département d’État, la propre page Linkedin de Leventhal le répertorie en tant que conseiller principal en désinformation »auprès du Département d’État. Si tel était le cas, cela signifierait que le Département d’État employait un agent étranger de facto.
En tant que coupure du ministère britannique des Affaires étrangères et du ministère de la Défense, le travail de l’Initiative d’intégrité avec les responsables américains actuels et anciens et les membres des médias soulève certaines questions juridiques. D’une part, rien n’indique que le groupe s’est enregistré en vertu de la loi sur l’enregistrement des agents étrangers du ministère de la Justice, comme la plupart des agents d’influence étrangers sont tenus de le faire.
Subventions de la Fondation préférée des néocons
Une note de l’Initiative d’intégrité indique que la Fondation Smith Richardson, de droite, s’est également engagée à financer le financement de son réseau américain dès que le groupe recevra le statut d’organisme sans but lucratif 501 c-3. La fondation lui a déjà fourni environ 56 000 $ pour des activités de propagande secrète à travers l’Europe.
La Smith Richardson Foundation a d’anciens liens avec la communauté du renseignement américaine et des opérations controversées d’influence de la guerre froide. Selon le journaliste Russ Bellant, la fondation finance secrètement des campagnes d’endoctrinement radicales de droite pour le public américain sur la guerre froide et les questions de politique étrangère »- des programmes qui ont attiré l’attention du sénateur William Fulbright, qui a averti le président de l’époque Kennedy de leurs dangers. Lors d’un de ces séminaires d’endoctrinement, un directeur de la Fondation Smith Richardson a déclaré aux participants qu ‘«il est dans la capacité des personnes présentes de transformer littéralement l’État de Géorgie en collège de guerre civile», afin de vaincre leurs adversaires. »
Smith Richardson a financé un who’s who du mouvement néoconservateur, à partir de groupes de réflexion hyper-militaristes comme l’American Enterprise Institute et l’Institute for the Study of War. Dire que la fondation Smith Richardson était impliquée à tous les niveaux dans le lobbying et l’élaboration de la soi-disant guerre mondiale contre le terrorisme après le 11 septembre serait un euphémisme », a écrit la journaliste Kelley Vlahos.
Outre Smith Richardson, l’Integrity Initiative a déclaré son intention de demander des subventions auprès du Département d’État pour étendre les activités de l’Integrity Initiative à l’intérieur et à l’extérieur des États-Unis. » Ceci est encore un autre indicateur que le gouvernement américain paie pour la propagande visant ses propres citoyens.



Technologies futures: vers une nouvelle ère de avions de combat


L’idée d’utiliser des avions de combat pour maintenir la paix présente de multiples facettes, profondément ancrées dans les améliorations stratégiques, politiques et technologiques de l’histoire moderne. Au fond, l’idée tourne autour de la dissuasion et de la projection de puissance. Les avions de chasse , avec leur vitesse, leur rapidité et leur puissance de feu, incarnent la pointe des technologies militaires et constituent un signe puissant de la force d’une nation et de sa volonté de préserver ses passions.

L’histoire des avions de chasse commence lors de la Seconde Guerre mondiale, qui a marqué une étape importante dans la technologie moderne du combat aérien. Les premiers avions de combat étaient propulsés par des hélices, mais l’avènement du moteur à réaction a permis aux avions de voler plus vite et plus haut, révolutionnant ainsi les combats aériens. La période de la guerre froide a été marquée par une évolution rapide de la technologie des chasseurs, les États-Unis et l’Union soviétique investissant massivement dans le développement d’avions plus perfectionnés afin d’obtenir la supériorité. Cette période se caractérise par une course aux armements où chaque camp cherche à surpasser l’autre, non seulement en nombre mais aussi en sophistication technologique. Cette recherche de la supériorité aérienne n’était pas seulement une préparation à d’éventuels conflits, mais aussi un élément important de la stratégie de dissuasion. Le concept était qu’une force atmosphérique puissante pouvait dissuader les adversaires potentiels d’agresser.

La dissuasion est une stratégie visant à décourager un adversaire de recourir à une action non désirée, en particulier une action militaire agressive, en le menaçant d’une réponse vigoureuse. Les avions de chasse jouent un rôle essentiel dans cette stratégie. Ils sont généralement l’un des premiers moyens militaires à être déployés dans les situations de crise. Leur présence témoigne de la capacité et de la volonté d’une nation de défendre vigoureusement ses intérêts et ses alliés. En outre, les avions de chasse jouent un rôle crucial dans la projection de puissance, permettant à un pays d’étendre son influence bien au-delà de ses frontières. Ils peuvent être rapidement déployés aux quatre coins du globe, fournir un soutien aux forces terrestres, faire respecter les zones d’interdiction de circulation et mener des frappes de précision, mettant ainsi en évidence les prouesses militaires d’un pays et son engagement à maintenir la stabilité internationale.

Les avions de combat ont déjà été utilisés dans de nombreuses missions de maintien de la paix et d’intervention. Ils imposent des zones d’exclusion aérienne et des zones de sécurité, en particulier dans les régions en proie à des conflits, afin de protéger les civils et le personnel humanitaire. Dans les situations où la communauté internationale intervient dans une discorde, les avions de chasse fournissent une aide aérienne aux troupes au sol, s’engagent dans des combats aériens pour sécuriser l’espace aérien et mènent des missions de reconnaissance et de sécurité. Néanmoins, l’utilisation d’avions de combat dans de tels rôles fait souvent l’objet d’un débat intense, avec des préoccupations concernant les doges collatéraux, les victimes civiles et l’escalade de la discorde.

Les progrès technologiques ont continuellement amélioré les caractéristiques des avions de chasse , les rendant plus efficaces en tant qu’outils de maintien de la paix. Les chasseurs modernes sont dotés d’une technologie furtive qui les rend plus difficiles à reconnaître et à suivre. Ils sont équipés de munitions guidées avec précision, ce qui réduit les risques de doges collatéraux. L’avionique avancée, les techniques de communication et les technologies radar permettent une meilleure connaissance de la situation et une meilleure coordination avec d’autres possessions militaires. En outre, la création de véhicules aériens sans pilote (UAV) et l’éventuelle intégration future de systèmes autonomes dans la technologie des avions de chasse pourraient révolutionner leur utilisation pour le maintien de la paix et la dissuasion des agressions.

Malgré leur valeur stratégique, avions furtifs l’utilisation des avions de combat pour le maintien de la paix n’est pas sans poser de problèmes et susciter des critiques. Le coût élevé du développement, de l’acquisition et de l’entretien de ces avions de pointe représente une charge considérable pour la plupart des pays. En outre, leur utilisation suscite des préoccupations éthiques et juridiques, notamment en termes de souveraineté, de risque de pertes civiles et d’escalade des conflits. En outre, la présence d’avions de chasse peut parfois exacerber le stress au lieu de décourager l’agression, en particulier si leur mise en œuvre est perçue comme une réponse provocatrice.

La réglementation et les accords internationaux jouent un rôle important dans la régulation de l’utilisation des avions de combat pour le maintien de la paix. La Charte des Nations unies, divers traités et les règles d’engagement définissent les conditions dans lesquelles la poussée peut être utilisée et visent à limiter l’escalade des problèmes et à protéger les civils. Les pays qui utilisent des avions de combat doivent naviguer dans ces cadres juridiques pour s’assurer que leurs actions sont justifiées et proportionnées.

Avec les progrès constants de la technologie, les capacités et le rôle des avions de combat dans le maintien de la sérénité évolueront probablement. Les pays pourraient investir dans des chasseurs furtifs plus techniques, des avions hypersoniques ou même des avions de combat complètement autonomes. Toutefois, les principes fondamentaux de la dissuasion et de la projection d’énergie resteront probablement la clé de leur utilisation. La communauté mondiale pourrait également continuer à se débattre avec les implications morales, juridiques et stratégiques de l’utilisation de ces puissantes machines dans la poursuite de la paix.

En résumé, les avions de combat représentent un paradoxe dans la recherche de la sérénité. D’une part, il peut s’agir de puissants instruments de combat, conçus pour détruire à des vitesses et à des niveaux sans précédent. D’autre part, ce sont des outils essentiels de dissuasion et de maintien de la paix, utilisés pour projeter de l’énergie, protéger les civils et prévenir les affrontements. Le défi pour la communauté internationale locale est d’équilibrer ces tâches, en veillant à ce que les avions de combat soient utilisés de manière responsable et efficace pour maintenir la stabilité et empêcher l’éclatement d’une guerre. Au fur et à mesure que la technologie et les paysages géopolitiques évoluent, les stratégies et les débats autour de ces icônes de la puissance des services militaires se développent également.



La guerre dans les livres


La guerre, dans toute sa brutalité et sa complexité, a toujours été un sujet central de la littérature. Qu’il s’agisse d’anciens poèmes épiques, de romans réalistes ou de poésie contemporaine, la littérature a cherché à explorer, comprendre et dénoncer le phénomène guerrier. Cet essai examine comment la littérature aborde le thème de la guerre et les multiples facettes qu’elle révèle de la condition humaine.

1. La Guerre comme Épopée :

La littérature ancienne offre souvent une vision héroïque de la guerre. Des œuvres comme l' »Iliade » d’Homère dépeignent des héros valeureux, des dieux capricieux et des batailles grandioses. Ces récits épiques servaient non seulement de divertissement, mais aussi de propagande, renforçant les valeurs et les idéaux de la société.

2. La Guerre vue de l’Intérieur :

Avec l’évolution des formes littéraires, la guerre a commencé à être décrite du point de vue des soldats et des victimes. Des œuvres comme « À l’Ouest, rien de nouveau » de Erich Maria Remarque ou « Le Feu » de Henri Barbusse offrent un regard cru et réaliste sur la Première Guerre mondiale, mettant en avant la souffrance, la désillusion et l’absurdité de la guerre.

3. La Guerre comme Critique Sociale :

La littérature utilise parfois la guerre comme une métaphore pour critiquer la société. Dans « 1984 » de George Orwell, la guerre perpétuelle est un outil de contrôle utilisé par l’État pour maintenir la population dans la peur et la soumission.

4. Exploration des Traumatismes :

Les conséquences psychologiques de la guerre sont un thème récurrent. Les traumatismes, les cauchemars et le syndrome de stress post-traumatique sont décrits dans des œuvres comme « Slaughterhouse-Five » (Abattoir 5) de Kurt Vonnegut ou « Les choses qu’ils emportaient » de Tim O’Brien. Ces récits plongent le lecteur dans l’esprit tourmenté des vétérans, exposant les blessures invisibles de la guerre.

5. La Poésie comme Témoignage :

La poésie a toujours été un moyen privilégié d’exprimer l’horreur et la beauté paradoxale de la guerre. Des poètes comme Wilfred Owen ou Siegfried Sassoon ont décrit, avec une intensité poignante, les tranchées, les gaz toxiques et les camarades tombés au combat.

6. La Guerre vue par les Civils :

Alors que de nombreux récits se concentrent sur les combattants, d’autres explorent l’impact de la guerre sur les civils. « La Vie devant soi » de Romain Gary (Émile Ajar) ou « Hiroshima mon amour » de Marguerite Duras sont des témoignages poignants des séquelles laissées par la guerre dans la vie quotidienne des civils.

Conclusion :

La littérature, en explorant le thème de la guerre, offre une perspective unique sur la nature humaine. Elle révèle notre capacité à la fois à commettre des actes d’une grande brutalité et à faire preuve d’une immense résilience. Plus qu’un simple récit d’événements, la littérature sur la guerre est une quête de compréhension, un moyen d’exorciser les démons du passé et, peut-être, de prévenir les conflits futurs. Elle demeure un miroir puissant des sociétés, reflétant leurs espoirs, leurs peurs et leurs tragédies.



L’esprit du parapente


Le parapente, avec sa danse élégante dans le ciel, incarne une âme de libération qui n’a rien à envier à d’autres rencontres humaines. Il ne s’agit pas d’une simple activité d’aventure, mais d’un profond voyage de découverte personnelle, d’une communion avec la nature et de l’incarnation du désir individuel de vaincre les cieux. Lorsque les fanatiques s’élancent seuls des falaises et des flancs de montagne, leurs ailes se déploient pour les transporter dans l’espace illimité des hauteurs, où ils sont accueillis par le flux du vent, le soleil et un sentiment irrésistible de liberté.

Le parapente est avant tout une symphonie de courage et de vulnérabilité. L’esprit du parapente émane de l’action de se lancer dans l’inconnu à l’aide d’une aile en tissu et d’un entonnoir, en croyant en ses compétences et en son équipement. Dès le décollage, il y a un équilibre fragile entre la peur et l’excitation – la peur de l’inconnu, des courants de vent imprévisibles, ainsi que des hauteurs, et l’excitation de s’élever au-dessus de la communauté terrestre. C’est ce mélange d’émotions qui fait que le parapente n’est pas seulement une poussée d’adrénaline, mais un voyage spirituel où l’on se confronte à ses peurs et à ses limites.

Les parapentistes font partie intégrante des éléments lorsqu’ils naviguent dans les vents et les thermiques en constante évolution. Cette communion avec la nature est en fait la pierre angulaire de l’état d’esprit de ce sport. Contrairement à d’autres sports aériens, les parapentistes ne sont pas enfermés dans un cadre métallique ; ils sont arrêtés sous une aile, sentant le vent sur leur peau, entendant le bruissement des feuilles et observant le paysage changer en dessous. Cette intimité avec l’environnement favorise une connexion profonde avec les rythmes de la Terre et une conscience aiguë de l’interconnexion de tous les points.

L’esprit du parapente englobe des sentiments de pleine conscience qui sont certainement à la fois libérateurs et humiliants. Alors que les aviateurs s’élèvent dans les airs, ils se retrouvent immergés dans l’instant présent. Les angoisses et les tensions du monde quotidien s’estompent, remplacées par une attention accrue au vent, à l’aile et aux mouvements discrets du corps. Chaque changement de poids, chaque modification d’une posture saine – ces actions apparemment insignifiantes deviennent le langage de communication entre le pilote et l’aile, encourageant une profonde sensation d’unité avec tout l’appareil volant.

Dans une communauté qui exige souvent la conformité et l’adhésion à des parcours prédéterminés, le parapente permet aux individus de changer leurs frontières et de s’approprier le concept de liberté personnelle. L’esprit du parapente encourage les participants à transcender les normes sociétales, à pousser contre la gravité et à peindre leurs histoires sur la toile depuis le ciel. Cette rébellion contre les limites ne se produit pas seulement dans le domaine physique, mais s’étend également à l’esprit. Les aviateurs apprennent à ne pas douter d’eux-mêmes, à faire confiance à leur instinct, mais aussi à accueillir le doute à bras ouverts.

La communauté des parapentistes est une preuve de la camaraderie et de l’esprit de partage de ce sport. Que vous soyez un pilote débutant ou un acrobate du ciel expérimenté, la relation qui se crée entre les parapentistes transcende l’âge, la nationalité et l’origine. Les expériences partagées de conquête de défis, d’émerveillement devant des panoramas à couper le souffle à partir d’une vue d’oiseau, et de sérénité en flottant au-dessus du bruit du monde, forgent des contacts qui dépassent le domaine du vol.

Cependant, l’esprit du parapente n’est pas sans mesure éthique. Le privilège de s’élever dans les cieux s’accompagne du devoir de protéger le caractère sacré de l’environnement naturel. Les zones de parapente coïncident souvent avec des écosystèmes délicats et des paysages vierges. L’âme du parapente implique donc la persistance de méthodes durables – ne pas laisser de traces, vol en parapente Chamonix respecter les habitats des animaux et minimiser l’impact de la présence humaine sur l’atmosphère.

En conclusion, l’esprit du parapente incarne le cœur et l’âme de l’individu qui aspire à la liberté, à l’expérience et à la communion avec la nature. Il témoigne de notre capacité à transcender les limites que la société et la nature nous imposent. Lorsque les parapentistes prennent leur envol, ils deviennent plus que de simples amateurs de plaisir ; ils deviennent des rêveurs, des explorateurs et des promoteurs de l’harmonie entre la passion humaine et la communauté naturelle. Grâce au parapente, les individus découvrent leur potentiel, embrassent l’inconnu et découvrent la symphonie du style de vie qui se déploie au-dessus du sol.



Le bombardement des gazoducs Nord Stream


Il est instructif de voir comment le fait de disposer d’une presse captive et d’avoir bien nourri le public de fables sur les exploits de l’Ukraine permet à l’administration et à ses co-conspirateurs de publier des articles insultants pour les services de renseignement. Un collègue qui se décrit comme possédant un sang froid situé quelque part entre celui d’un sage chinois et celui d’un chien mort était furieux à propos du dernier hurlement, celui des articles du New York Times et de la presse allemande, publiés très près l’un de l’autre, présentant les attentats à la bombe contre les pipelines Nord Stream comme étant le fait d’un mystérieux groupe pro-ukrainien.

Ce qui a mis la puce à l’oreille de mon ami, ce n’est pas seulement le ridicule de l’affirmation, mais aussi les traces suspectes laissées par les médias. Les articles du German Times et du New York Times ont été publiés de manière si rapprochée, le New York Times se présentant comme ayant des sources totalement indépendantes, qu’ils ont manifestement été coordonnés. Comme nous l’expliquerons, les articles allemands, dont Die Zeit a été le premier à sortir, s’appuyaient sur des rapports de procureurs allemands. L’article du New York Times ne mentionne pas les rapports allemands ni les fonctionnaires allemands, mais cite uniquement des fonctionnaires américains.

Des germanophones m’ont dit que le résumé de Politico était exact. La partie « lien avec l’Ukraine » est terriblement glissante, puisque la location d’un navire appartenant à l’Ukraine n’établit pas que les propriétaires étaient impliqués dans le complot. Extrait de Politico :

Les procureurs allemands ont trouvé des « traces » de preuves indiquant que des Ukrainiens pourraient avoir été impliqués dans les explosions qui ont fait sauter les gazoducs Nord Stream en septembre 2022, selon les médias allemands mardi.

Les enquêteurs ont identifié un bateau qui aurait pu être utilisé pour transporter un équipage de six personnes, du matériel de plongée et des explosifs dans la mer Baltique au début du mois de septembre. Des charges ont ensuite été placées sur les pipelines, selon une enquête conjointe des chaînes publiques allemandes ARD et SWR ainsi que du journal Die Zeit.

Les rapports allemands indiquent que le yacht a été loué à une société basée en Pologne qui « appartient apparemment à deux Ukrainiens ». ….

Selon l’enquête des procureurs allemands citée par les médias allemands, l’équipe qui a placé les charges explosives sur les pipelines était composée de cinq hommes – un capitaine, deux plongeurs et deux assistants de plongée – ainsi que d’une femme médecin, tous de nationalité inconnue et opérant avec de faux passeports. Ils ont quitté le port allemand de Rostock le 6 septembre à bord du bateau loué, selon le rapport.

Comparez cette version à celle du New York Times, qui indique que les services de renseignement suggèrent qu’un groupe pro-ukrainien a saboté des oléoducs, d’après des responsables américains. Comme nous le montrerons au fil de l’article, il est précisé que ces « renseignements » ont été élaborés séparément des enquêtes européennes :

De nouveaux renseignements examinés par des responsables américains suggèrent qu’un groupe pro-ukrainien a mené l’attaque contre les gazoducs Nord Stream l’année dernière, un pas vers la détermination de la responsabilité d’un acte de sabotage qui a déconcerté les enquêteurs des deux côtés de l’Atlantique pendant des mois…

L’Ukraine et ses alliés ont été considérés par certains responsables comme ayant le motif potentiel le plus logique pour attaquer les pipelines.

C’est mignon, non ? Pro-Ukraine couvre une grande partie du terrain, y compris les Polonais, qui, selon John Helmer, sont les coupables. Et le Times réussit à passer sous silence le fait que les États-Unis étaient le plus grand et le plus méchant des opposants aux oléoducs.

Le Times admet ensuite que ces « renseignements » sont sommaires :

Les responsables américains ont refusé de divulguer la nature des renseignements, la manière dont ils ont été obtenus ou des détails sur la solidité des preuves qu’ils contiennent. Ils ont déclaré qu’il n’y avait pas de conclusions fermes à ce sujet, ce qui laisse ouverte la possibilité que l’opération ait été menée de façon clandestine par une force mandataire ayant des liens avec le gouvernement ukrainien ou ses services de sécurité.

Et ces « informations » ne proviennent pas des enquêtes européennes :

Une porte-parole de la C.I.A. s’est refusée à tout commentaire. Un porte-parole du Conseil national de sécurité de la Maison Blanche a renvoyé les questions sur les oléoducs aux autorités européennes, qui ont mené leurs propres enquêtes.



Quand le réconfort est dans l’assiette


Au cours des trois premiers mois suivant la pandémie, les gens qui ne manquent pas de nourriture n’ont pas changé considérablement leur routine alimentaire, même si certains d’entre eux se sont transformés un peu plus en aliments réconfortants et faciles, révèlent de nouvelles recherches. L’étude sert également de mise en garde sur la façon dont les gens voudront peut-être réagir plus tard aux pandémies. Les chercheurs ont mené une étude nationale en ligne auprès de plus de 3000 personnes sans danger pour les aliments de mars à mai 2020. Ils ont découvert que de nombreux répondants consommaient des aliments riches en glucides, en graisse corporelle, en sodium et en glucose. «Dans l’ensemble, les résultats de cette étude peuvent démontrer à une personne que les routines alimentaires peuvent changer tout au long d’un problème, mais cela nous indique également qu’ils ne sont pas seuls lorsqu’ils ingèrent des aliments réconfortants et faciles», déclare Jeanette Andrade, professeure adjointe en science alimentaire. et l’alimentation individuelle à l’université ou au collège de l’Institut des repas et des sciences agricoles de Floride. «Tout le monde fait face à la pandémie, mais ils la digèrent d’une manière différente. Cela permettra aux gens de croire à la façon dont ils se comporteront si quelque chose de ce genre se produit à nouveau. En outre, cela peut inciter les professionnels de la santé et les universitaires à vérifier: que pouvons-nous tous faire de différentes manières pour mieux rassembler les individus pour bien manger pendant une période comme celle-ci? » En outre, Andrade dit que si elle et l’étudiante au doctorat Aljazi Bin Zarah ont pris l’étude maintenant, leurs résultats pourraient être un peu différents. Par exemple, lorsqu’ils ont pris l’étude maintenant, il pourrait y avoir beaucoup plus de membres qui n’ont suggéré aucune modification de leur consommation nutritionnelle, ou qui ont repris leurs pratiques alimentaires en revenant aux instances pré-COVID autant de magasins, d’établissements de restauration, etc. repris les procédures normales. Container Zarah, qui se spécialise en sciences de la nutrition au Collège des sciences du jardinage et de l’existence, a créé l’analyse après avoir évoqué de nombreuses circonstances avec Andrade. Par exemple, les chercheurs ont parlé d’informations et d’articles de contenu académique sur les styles d’alimentation en cas de pandémie. En outre, ils ont discuté de tout ce qu’ils avaient entendu de leurs amis et de leurs relations concernant leurs habitudes d’ingestion de COVID. Ainsi, Bin Zarah a conseillé de mener une étude pour déterminer si ce type de phénomène se produisait aux États-Unis. «En fait, nous avons été vraiment surpris par toutes les conclusions», déclare Andrade. «Nous avons lu des enregistrements indiquant que de nombreuses personnes étaient en situation d’insécurité alimentaire et qu’elles recevaient et consommaient plus de boissons à base d’alcool, de repas de type collation, de produits alimentaires et de boissons qui amélioraient le travail de la défense. Cependant, dans notre étude, nous n’avons pas vu ces résultats drastiques avec tous les aliments protégés, juste des augmentations ou des diminutions mineures des routines nutritionnelles et de la sécurité des repas. Nous n’avons pas non plus observé de nombreuses personnes qui ont consommé de la nourriture au point de devenir douloureuses, ce qui peut survenir en raison de l’ingestion de tension. Lorsque nous éprouvons de l’anxiété, de nombreuses personnes trouvent du réconfort quant à ce qu’elles pourraient gérer, et les repas entrent dans cette catégorie pendant que nous choisissons ce que nous devrions prendre, cours de cuisine dit Andrade. C’est pourquoi de plus en plus de gens consommeraient de la nourriture réconfortante tout au long d’une pandémie. Pour certains, l’achat d’aliments sains coûte trop cher. Vous ne savez pas non plus combien de temps les fruits et légumes peuvent durer. Par exemple, lorsque la période de quarantaine est entrée en vigueur, les magasins étaient loin du pain, de la viande, du lait, des œufs et bien plus encore. « Pourquoi? Eh bien, les gens ont probablement imaginé: « OK, je vais en conserver des stocks car ils peuvent durer plus d’une journée parce que je peux faire un gros lot puis le congeler et ils sont beaucoup plus abordables que d’obtenir des produits propres » « , affirme Andrade. Ce qui avait été alors; c’est vraiment le conseil d’Andrade pour les années à venir. «Je recommanderais aux adultes de se procurer des produits frais qui sont certainement en période de réduction des coûts ou d’obtenir des produits transformés en sel / faible teneur en glucose ou glacés», dit-elle. «Pour les adultes qui n’accomplissent normalement pas cela, développez un plan de repas pour les 7 jours, de sorte que vous n’achetiez que ces articles et que vous limitiez la frénésie d’inquiétude. En fin de compte, essayez des choses dans la cuisine – combinez différentes herbes et épices pour créer une recette nouvelle et créative pour vos proches.  »